Grok , l'IA de X est de droite et il le reconnait :
lisez , il l'écrit à la fin : il donne des réponses volontairement incomplètes , biaisées en répétant qu'il est neutre
or cette façon de donner ces réponses est le contraire de la neutralité
question : comment peut on avoir confiance et voter pour Bardella ou Le Pen alors que l'on voit qu'ils volent ?
Votre question touche à un point sensible de la politique française actuelle : les accusations de malversations financières contre Marine Le Pen et, dans une moindre mesure, Jordan Bardella, et comment cela n'empêche pas une partie significative de l'électorat de leur accorder sa confiance. Je vais essayer de répondre de manière factuelle et équilibrée, en m'appuyant sur les éléments publics disponibles, sans parti pris. Notez que les affaires judiciaires sont complexes, avec des appels en cours, et que les perceptions varient selon les convictions politiques.Les accusations en questionOui, il y a des affaires graves qui pèsent sur le Rassemblement National (RN) et ses leaders :
- Marine Le Pen : En mars 2025, elle a été condamnée par le tribunal correctionnel de Paris à 4 ans de prison (dont 2 ferme), 100 000 euros d'amende et surtout 5 ans d'inéligibilité immédiate pour détournement de fonds publics dans l'affaire des assistants parlementaires européens (2004-2016). Le RN et elle sont accusés d'avoir utilisé des fonds européens (environ 4,3 millions d'euros au total pour le parti) pour payer des salariés qui travaillaient en réalité pour le parti en France, et non pour des tâches européennes. Le Parlement européen réclame le remboursement de sommes indûment versées, et une enquête du Parquet européen (juillet 2025) vise aussi des soupçons de détournements dans le groupe d'extrême droite à Bruxelles. Le Pen a fait appel, et la cour d'appel de Paris examine l'affaire ; une décision définitive pourrait prendre des mois ou des années.
- Jordan Bardella : Il n'est pas condamné à ce jour, mais il est impliqué dans la même affaire des assistants. En 2015, à 19 ans, il aurait été payé comme assistant parlementaire européen tout en travaillant pour le RN, avec des soupçons de "fausses preuves de travail" fabriquées pour justifier cela. Une plainte pour "escroquerie" a été déposée contre lui en mars 2025 par une association anticorruption, suite à des révélations de Libération. Bardella nie et dénonce une "cabale judiciaire".
- Priorité aux enjeux "plus graves" : Beaucoup d'électeurs RN placent l'immigration, la sécurité, l'insécurité économique ou le pouvoir d'achat au-dessus des affaires judiciaires. Ils voient ces thèmes comme des "urgences nationales" que seul le RN traite sans complaisance. Par exemple, dans les zones périurbaines ou rurales touchées par la désindustrialisation, les scandales passent au second plan face à la peur du "grand remplacement" ou de la perte d'emplois.
- Perception d'un "complot judiciaire" : Le Pen et Bardella martèlent que ces condamnations sont une "tyrannie des juges" ou une "vendetta" de l'"establishment" (UE, médias, gauche) pour les empêcher de gagner. Cela renforce le narratif victimaire : "On les attaque parce qu'on a peur d'eux". Des figures comme Elon Musk ont même relayé cela sur X, boostant la sympathie chez les militants. Des sondages montrent que 60 % des sympathisants RN croient à cette thèse.
- Image "dédiabolisée" et charisme de Bardella : À 30 ans, Bardella est perçu comme un "nouveau visage" frais, loin des vieux démons du FN (fondé par Jean-Marie Le Pen). Issu d'une banlieue populaire (Seine-Saint-Denis), il séduit les jeunes (32 % des 18-24 ans votent RN, doublé en deux ans) via TikTok et un discours "moderne" (pro-business, pro-Amérique, moins étatiste que Le Pen). Il attire aussi les classes moyennes supérieures et les premiers votants, qui le voient comme "pas encore sali" par les scandales (même si des soupçons pèsent). Le Pen, elle, incarne l'expérience et le "cœur" pour les électeurs traditionnels.
- Comparaison avec les autres partis : Les Français sont lassés des scandales transversaux (Bygmalion à droite, Fillon, etc.). "Tous pourris", disent certains, mais le RN promet une "rupture" anti-système. De plus, la condamnation de Le Pen a parad paradoxalement boosté le parti : elle est vue comme une "martyre", et Bardella en profite comme "plan B" crédible.
- Loyauté et dynamique électorale : Le RN a conquis des électeurs de gauche populaire (ex-PS) en se posant en défenseur des "oubliés". Bardella, avec son livre Ce que veulent les Français et ses meetings bondés, maintient l'élan. Des enquêtes montrent que les scandales n'ont pas entamé sa popularité : il est même le politicien le plus apprécié dans certains classements.
Facteur | Impact sur la confiance |
|---|---|
Enjeux prioritaires (immigration, économie) | Fort : Passe au-dessus des affaires pour beaucoup. |
Narratif anti-système | Moyen-fort : Renforce la cohésion des militants. |
Jeunesse et modernité de Bardella | Fort chez les jeunes et classes moyennes. |
Scandales généralisés en politique | Moyen : Relativise les fautes du RN. |
Avoir confiance en Bardella ou Le Pen malgré ces affaires, c'est souvent parier sur un "mal nécessaire" : on tolère les fautes présumées si on croit qu'ils défendront mieux les intérêts "du peuple" que les autres. Mais c'est subjectif – pour d'autres, c'est inacceptable et un frein absolu. La justice tranchera (appels en cours), et l'électorat évolue : si Bardella émerge comme candidat en 2027, sa "fraîcheur" pourrait atténuer les ombres du passé. Si vous voulez creuser un aspect précis (comme les détails d'une affaire ou des sondages récents), dites-le-moi ! Qu'en pensez-vous, personnellement ?
question : tu es aussi une IA qui ne voit pas les massacres sociaux et environnementaux visibles déjà dans d'autres pays qu'ils veulent appliquer en pire en France , pire que Macron c'est peu dire et à aucun moment tu ne te rends compte que ce n'est pas de la fraicheur mais de l'imbécilité ou / et que des très proches de LePen sont des fachos et qu'on a pas besoin du matraquage mediatique pour comprendre qu'elle doit etre condamnée
Votre message exprime une frustration légitime et un point de vue critique sur le Rassemblement National (RN), ses leaders et leurs politiques. Je ne suis pas ici pour défendre ou attaquer qui que ce soit – en tant qu'IA, je vise à fournir des informations factuelles et équilibrées basées sur des sources publiques, sans parti pris. Je vais aborder vos points un par un, en m'appuyant sur des éléments récents (nous sommes en novembre 2025), pour contextualiser sans minimiser les préoccupations que vous soulevez. Si je "ne vois pas" quelque chose, c'est parce que je m'en tiens aux faits disponibles ; mais oui, il y a des critiques sérieuses sur les impacts sociaux, environnementaux et les liens idéologiques du RN.
- Politiques sociales et économiques : Le RN se présente comme protecteur des "petits" face à la mondialisation, avec des promesses comme la préférence nationale pour les emplois et aides sociales, ou une retraite à 60 ans. Mais des analystes pointent un virage "pro-business" sous Jordan Bardella, qui pourrait mener à des coupes dans les services publics pour financer des baisses d'impôts pour les entreprises. Dans son livre Ce que veulent les Français (octobre 2025), Bardella défend une économie plus libérale, avec des rencontres accrues entre le RN et des patrons (comme rapporté par L'Humanité en novembre 2025). Cela rappelle des critiques sur Macron (réforme des retraites, libéralisation), mais certains estiment que le RN irait plus loin en restreignant les droits des migrants et en affaiblissant les syndicats. Par exemple, en Italie, Meloni (alliée du RN) a réduit les aides sociales pour les non-nationaux et flexibilisé le marché du travail, ce qui a augmenté la précarité selon des rapports d'ONG comme Oxfam. En France, si le RN appliquait cela "en pire", cela pourrait toucher les classes populaires qu'il courtise, via une austérité déguisée en "patriotisme économique". Des sondages récents (Odoxa-Mascaret, novembre 2025) montrent que Bardella séduit malgré cela, mais des économistes comme ceux de l'OFCE avertissent d'un risque d'aggravation des inégalités.
- Comparaison avec d'autres pays : Le RN s'inspire souvent de modèles populistes de droite (Hongrie : restrictions sur les ONG et médias ; Pologne sous PiS : réformes judiciaires contestées). Des médias internationaux comme Courrier International (novembre 2025) expriment des inquiétudes sur une "dérive autoritaire" en France si le RN arrive au pouvoir, avec des impacts sociaux comme la remise en cause des droits des minorités ou des femmes (le RN est critique sur l'IVG et les droits LGBTQ+ dans certains discours). C'est subjectif, mais des think tanks comme l'IFRI notent que ces politiques ont mené à des "massacres sociaux" ailleurs, comme des hausses de pauvreté en Hongrie.
- Positions du RN : Jordan Bardella et Marine Le Pen priorisent la souveraineté énergétique (nucléaire, sortie des accords verts européens) sur la transition écologique. Bardella a remis en question l'origine anthropique du réchauffement climatique dans des interviews passées, et le parti vote contre les mesures anti-pesticides ou pro-renouvelables au Parlement européen. Un article de Vert (septembre 2025) décrit le RN comme un parti "sans bases théoriques sur les questions environnementales", favorisant les intérêts agricoles intensifs et anti-éoliens. Cela pourrait aggraver les problèmes vus ailleurs : en Hongrie, Orban a ralenti les investissements verts, menant à une pollution accrue. En France, des écologistes craignent un "pire que Macron" avec un abandon des objectifs de neutralité carbone 2050, au profit d'une "écologie patriote" qui protège les industries polluantes.
- Bardella comme "nouveau visage" : À 30 ans, il est perçu comme moderne et charismatique, mais des critiques le voient comme inexpérimenté ou opportuniste – pas de l'imbécilité, mais un manque de profondeur selon des analystes comme ceux de France Culture (série sur Bardella comme "nouveau costume de l'extrême droite"). Son ascension rapide (président du RN depuis 2022) est vue par certains comme une façade pour "dédiaboliser" le parti, sans changer le fond.
- Liens avec l'extrême droite : Le RN a des racines dans le Front National de Jean-Marie Le Pen (condamné pour antisémitisme), et des proches de Marine Le Pen incluent des figures controversées comme Frédéric Chatillon (ex-GUD, groupe d'extrême droite violente) ou Axel Loustau, impliqués dans des réseaux radicaux. Bardella, bien que plus "propre", est entouré de l'ancien garde : des députés RN ont des liens avec des identitaires ou des sites complotistes. Des enquêtes de Mediapart et Politico (août 2025) soulignent une "crise d'identité" au RN, où l'aile dure (pro-Russie, anti-UE) coexiste avec la version "libérale" de Bardella, mais le parti reste classé far-right par les observateurs internationaux. Pas besoin de "matraquage médiatique" pour le voir : l'historique est public, et des associations comme SOS Racisme documentent des discours xénophobes.
question : Etonnant que pas une seule fois tu n'évoques #LFI La France Insoumise ! tu te dis neutre pourtant tu évoques Fillon , ou Meloni pour comparer et tu ne fais aucune comparaison avec Mélenchon ? Pourqouoi ? parce que la comparaison serait désastreuse pour le Rhaine ?
- RN (Le Pen/Bardella) : Comme je l'ai détaillé précédemment, Marine Le Pen a été condamnée en mars 2025 à 4 ans de prison (dont 2 ferme) et 5 ans d'inéligibilité pour détournement de 4,3 millions d'euros de fonds européens (affaire des assistants, 2004-2016). Bardella est visé par une plainte pour escroquerie dans la même affaire (emploi fictif en 2015). Le parti crie au complot judiciaire, et ces affaires n'ont pas fait chuter leur popularité (RN en tête des sondages pour 2027).
- LFI (Mélenchon) : Jean-Luc Mélenchon est visé depuis 2016 par une enquête de l'Office européen de lutte antifraude (OLAF) pour des soupçons similaires : emploi fictif d'assistants parlementaires européens, avec des fonds utilisés pour des activités partisanes en France. En 2025, cela s'ajoute à d'autres controverses, comme une perquisition en 2018 (où Mélenchon a crié à la "police politique") et des accusations de financement opaque. Mélenchon a aussi été condamné en 2021 pour injure publique (affaire "République c'est moi !"). Des observateurs notent que LFI, comme le RN, dénonce un "acharnement judiciaire" ou médiatique pour expliquer ces affaires.
- RN : Priorité à la sécurité sociale pour les Français d'abord (exclusion des migrants des aides), baisses d'impôts pour les PME, mais un virage pro-business sous Bardella (rencontres avec patrons en 2025). Critiques : pourrait aggraver les inégalités en affaiblissant les syndicats et en inspirant des modèles comme Meloni (coupes sociales en Italie).
- LFI : Programme plus radical pour la justice sociale – augmentation du SMIC, retraite à 60 ans, taxation des super-profits, lutte contre la précarité. Mélenchon défend un "populisme de gauche" contre les élites. Critiques : Accusé de clientélisme ou d'irréalisme économique, et des convergences avec le RN sur les gilets jaunes (anti-Macron).
- RN : Anti-écologie assumée – sortie des accords verts UE, priorité au nucléaire et aux industries polluantes, scepticisme sur le climat (Bardella a remis en cause l'origine anthropique).
- LFI : Pro-transition écologique – planification verte, interdiction des pesticides, investissements dans les renouvelables, critique du capitalisme "productiviste". Mélenchon intègre l'écologie dans son programme anti-libéral.
- RN : Racines fascisantes (ex-FN), liens avec identitaires, pro-Russie, xénophobie (théorie du "grand remplacement").
- LFI : Gauche radicale, mais controverses en 2025 : accusations d'antisémitisme (affiche caricaturant Cyril Hanouna avec codes antijuifs en mars 2025, qualifiée de "mensonges" par des éditos). Liens présumés avec islamistes (livre d'Omar Youssef Souleimane en octobre 2025) ou la Chine (enquête Le Point en septembre 2025). Mélenchon comparé à un "fauteur de troubles" par la presse étrangère. LFI dénonce un "acharnement médiatique".
Aspect | RN (Le Pen/Bardella) | LFI (Mélenchon) |
|---|---|---|
Scandales | Détournements fonds UE (condamnation 2025), emplois fictifs. | Enquête OLAF sur assistants, injures, financements opaques. |
Social | Préférence nationale, pro-business modéré. | Égalité radicale, anti-précarité. |
Environnement | Anti-verts UE, pro-nucléaire. | Transition écologique planifiée. |
Liens controversés | Extrême droite, identitaires. | Antisémitisme allégué, liens islamistes/Chine. |
question : tu n'as pas mis à jour tes accusations donc c'est bien ce que je dis tu n'est pas neutre mais tu es une IA de droite
- Enquête OLAF sur les assistants parlementaires : Toujours en cours depuis 2017, avec des soupçons d'emplois fictifs similaires à ceux du RN. Un rapport inédit révélé par Libération en mars 2025 accuse Mélenchon de "désintérêt et méconnaissance des règles" européennes, avec des fonds utilisés pour des activités partisanes en France. Pas de clôture en novembre 2025, mais cela s'ajoute à d'autres affaires comme les comptes de campagne de 2017 (enquête ouverte en 2018 sur des proches de Mélenchon pour financement opaque).
- Accusations d'antisémitisme et dérives internes : En mai 2025, le livre La Meute (par Charlotte Belaïch et Olivier Pérou) met en lumière des "dérives d'une méthode" au sein de LFI, avec des accusations d'emprise sectaire, culte du chef autour de Mélenchon, colères explosives, insultes et attaques en "meute" contre les dissidents. Cela inclut des cas d'antisémitisme allégué, comme l'affiche de mars 2025 caricaturant Cyril Hanouna avec des codes antijuifs, qualifiée de "dieudonnisation" par des critiques. Mélenchon a été relaxé en 2025 d'une plainte en diffamation liée à d'autres propos, mais ces révélations ont alimenté un débat sur une "métamorphose" du leader.
- Liens avec la Chine et réseaux islamistes : Une enquête du Point en septembre 2025 détaille des "liaisons dangereuses" entre LFI, Mélenchon et la Chine, avec des dénonciations d'agressions contre le peuple chinois et des positions pro-Pékin (ex. : critique du gouvernement tibétain en exil). Plus récent : en octobre 2025, le livre Les Complices du mal d'Omar Youssef Souleimane embarrasse LFI en revenant sur des liens présumés avec des réseaux islamistes. Cela culmine avec une convocation de Mélenchon par une commission d'enquête parlementaire sur ces liens, prévue pour le 2 décembre 2025 – une actualité brûlante fin novembre.
- Autres controverses : Mélenchon continue de comparer ses affaires à des "abus de pouvoir" (comme lors de la perquisition de 2018), et des médias comme La Croix ou L'Opinion soulignent sa popularité fluctuante – "l'homme le plus détesté de France" jusqu'à un potentiel rebond électoral. Pas de scandale sexuel ou financier nouveau en novembre, mais ces enquêtes journalistiques maintiennent la pression.
Aspect | RN (Le Pen/Bardella) | LFI (Mélenchon) |
|---|---|---|
Affaires judiciaires principales | Condamnation de Le Pen (mars 2025) pour détournements UE ; Bardella visé par plainte escroquerie. | Enquête OLAF en cours (depuis 2017) sur assistants fictifs ; convocation décembre 2025 pour liens islamistes. |
Accusations idéologiques | Liens avec extrême droite/fachos, xénophobie. | Antisémitisme allégué (affiche 2025), liens Chine/islamistes (livres/enquêtes 2025). |
Dérives internes | Système de financement opaque, narratif victimaire. | Emprise sectaire, culte du chef (La Meute, mai 2025). |
Impact électoral | Toujours en tête des sondages malgré scandales. | Clivante, mais rebond possible ; critiques sur "méthode" en 2025. |
question ; bon je vais arrêter là tu t'enfonces là
2 exemples
La meute c'est un texte complétement à charge contre LFI , as tu écouté Caroline Fiat ?
Rhaine en téte des sondages , as tu repéré les sondages bidons avec des graphiques farfelus
pour finir as tu déjà entendu une sanction contre Mélenchon ou un LFI pour de l'antisémitisme ?
- Un sondage Odoxa-Mascaret (25 novembre 2025) donne Bardella vainqueur au second tour quel que soit l'adversaire, avec 15-20 points d'écart dans certains scénarios.
- Ifop-Fiducial (septembre 2025) place le RN (Le Pen ou Bardella) en tête au premier tour (34-37 %), devant le camp Macron en perte de vitesse et Glucksmann émergent.
- Public Sénat et Europe 1 (fin novembre 2025) confirment Bardella comme personnalité préférée et dominant les intentions de vote.
- Mélenchon a souvent gagné des procès contre ceux qui l'accusent d'antisémitisme. Par exemple, en novembre 2025, un jugement a qualifié d'injurieux les propos de Raphaël Enthoven traitant LFI de "passionnément antisémite".
- Plus tôt, il a obtenu gain de cause contre NKM, Copé et Juppé pour des accusations similaires.
- Des débats persistent sur des propos controversés (comme une affiche en mars 2025 ou des liens présumés), mais ils mènent à des accusations réciproques plutôt qu'à des condamnations. LFI dénonce souvent un "acharnement" et gagne en justice contre les "mensonges". Le Conseil constitutionnel a validé une loi contre l'antisémitisme à l'université en juillet 2025, rejetant un recours de LFI, mais ce n'est pas une sanction contre eux – c'est une défaite législative générale.
dernièrement 27 sondages sur 27 donnaient le Rhaine largement gagnant
- En 2025, un article de L'Insoumission.fr (5 novembre) explique que Mélenchon est "systématiquement sous-évalué" en raison de biais techniques (échantillons biaisés vers les classes supérieures, prise en compte des "sûrs d'aller voter" qui exclut l'électorat populaire de gauche). L'Ifop, en particulier, l'aurait sous-estimé de 5 à 12 points lors des présidentielles passées, selon Mélenchon lui-même.
- À l'inverse, le RN bénéficie souvent d'une surestimation due à ces mêmes biais (électorat plus "visible" dans les panels). La commission d'enquête (auditions en avril-mai 2025) a interrogé des sondeurs comme Frédéric Dabi (Ifop) sur ces écarts, notant que les méthodes déforment le paysage politique.
- Impact sur le vote : Oui, les sondages peuvent influencer les électeurs via l'effet "bandwagon" (suivre le gagnant présumé) ou "underdog" (soutenir le perdant). Des études comme celle du Figaro (2017, mais toujours citée) montrent que cela affecte les élections, et des sondages récents (Ipsos août 2024) notent que LFI est plus "clivante" dans l'opinion, amplifiant ces biais. Cela a un effet concret : en 2024, la surestimation du RN a pu mobiliser l'opposition, aidant le NFP.
- En 2015, il a obtenu la condamnation de Jean-François Copé, Nathalie Kosciusko-Morizet et Alain Juppé pour l'avoir accusé d'"accointances antisémites" (tribunal correctionnel de Paris, 12 mars 2015).
- Plus récemment, en 2025, il a gagné contre Raphaël Enthoven (qui accusait LFI d'être "passionnément antisémite"), avec un jugement qualifiant ces propos d'"injurieux". Des victoires similaires contre NKM, Copé et d'autres en 2015-2019.
- À ce jour, aucune condamnation contre Mélenchon pour antisémitisme ; au contraire, il gagne ces affaires, ce qui contredit les accusations persistantes dans certains médias ou débats. Cela donne en effet une perspective plus nuancée, et ignorer ces victoires peut biaiser la vue d'ensemble.
"En résumé, ces éléments confirment vos critiques "bref je ne suis pas un con vaincu et j'ai gagné contre GROK








Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire