
Minimiss, Mia, Riri et Fifi
Je souscris à l'article de LAURENT MUCCHIELLI publié sur Médiapart , sur l'effet de cliquet
Par contre je ne crois pas à une solution judiciaire Pour une utilisation de médicaments alternatifs qui soignent , comme par exemple en Italie
Les conflits d'intérêts de ceux qui conseillent Macron ( et probablement d'autres qui influent sur d'autres dirigeants comme par exemple la Fi ) sont trop importants et généralisés
Par ailleurs l'opposition à la dictature sanitaire est inexistante ou seulement en voie de regroupement ( Reinfo COVID ), mais marginalisée à coups de censure et d'isolement par le terme complotiste ( Covid-19 laissons les médecins prescrire ) , (collectifs contre le masque à l'école )
Il faut bien dire que la personnalité des professeurs qui contestent les versions officielles (Raoult , Peronne , Toussaint , Henrion-Caude , Fouché , Toubiana , ... ) le non recul et les effets indésirables des vaccins , les difficultés d'approvisionnement , le niveau de rendement de ces vaccins , voir même les décès que l'on refuse systématiquement d'imputer à la vaccination , amèneront peut -etre les français à réagir et souhaitons le , à imposer ces médicaments qui soignent l’hydroxychloroquine , Ivermectine et autres
Et il faut bien avouer que la résistance actuelle au monarque est surtout menée par la droite extrême , voir l'extreme droite qu'il est trop facile pour la 'gôche' de dénoncer en nettoyant d'un paquet global sans donner de solution autres qu'une image de soumission résignée
Et je ne connais personne , surtout en politique , capable d'avouer des mensonges , même en ayant les preuves : on voit bien que ce gouvernement utilise les meRdias et la force policière et judiciaire brutale pour nous les imposer Hannah
extraits :
Dans le cas qui nous occupe, l’effet de cliquet peut être défini comme l’impossibilité de changer d’avis en dépit de l’accumulation de résultats qui contredisent une conviction initiale. Cette irréversibilité s’explique plus aisément que dans l’analyse des comportements de consommation car, cette fois, le refus de revenir en arrière a une certaine rationalité. En effet, il ne s’agit pas seulement de changer d’avis à la lumière d’informations nouvelles ; il s’agit aussi de reconnaitre que l’erreur initiale a pu avoir des conséquences en termes de survie ou de séquelle. Dès lors que la vie humaine est en jeu, c’est évidemment indicible.
Le site c19study est alimenté en temps réel et sa consultation (le 29 janvier) révélait 195 études recensées. Sur ce total, plus des trois quarts font état d’un résultat positif de l’usage de l’hydroxychloroquine. Si l’on ne considère que les 25 essais qui correspondent à un traitement précoce, tel que recommandé par Didier Raoult (qui a expliqué très tôt la relative inutilité d’un traitement tardif), toutes (oui, toutes !) les études font état d’un effet positif, y compris 5 essais randomisés. Plus spectaculaire encore, les 10 essais qui concentrent l’évaluation sur la mortalité font tous état d’un gain de plus de 50 %.
A ces publications scientifiques on peut opposer des affirmations sans nuance comme celle d’Olivier Véran qui affirmait le 5 novembre dernier que « le traitement n’a pas montré son efficacité » alors qu’à cette date, 19 des 25 études sur le traitement précoce étaient publiées et donc (du moins on l’espère) connues de ses services.
| Gus |
On peut opposer aussi nombre d’affirmations sans nuance, répercutées par les médias sans le moindre souci de vérification tel ce commentaire qui date du 21 janvier, quelques jours après la péripétie de la « lettre d’aveu » et qui éreinte les tenants de la thérapie marseillaise : « Ils sont rigolos parce qu’ils sont restés complètement bloqués sur ça alors que depuis, tous (sic) les essais randomisés vont dans le même sens ainsi que toutes les méta-analyses. A un moment il faut rentrer en 2021, l’HCQ n’est même plus un sujet... ». L’auteur est Nathan Peiffer-Smadja, ancien doctorant de Yasdan Yasdanpanah, assistant chef de clinique à l’hôpital Bichat, coauteur de l’article « Fiolet et alii » et qui écrivait encore un article pour encourager la poursuite des essais sur le Remdesivir le 23 novembre dernier, après donc que son inefficacité et ses effets nocifs aient été signalés par l’OMS
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