C'est le premier principe de prudence appris aux étudiants en médecine et en pharmacie.
En mars 2020, l'Académie des sciences et l'Académie nationale de médecine publient un communiqué commun intitulé « Primum non nocere » pour rappeler que l'utilisation incontrôlée d'un médicament, en dehors d'une validation scientifique, comporte des effets néfastes. Ces risques sont « rendre plus complexe voire impossible l’évaluation de son éventuelle efficacité, induire des effets indésirables ou provoquer par interaction médicamenteuse des conséquences négatives sur l’effet d’autres traitements. Il peut enfin induire une pénurie du médicament pour les patients qui en ont besoin dans le contexte d’une autre pathologie »
Nous avons les plaisir de vous annoncer que nous avons envoyé une déclaration de responsabilité civile et pénale concernant l’administration des « vaccins » Pfizer/BioNTech et Moderna aux représentants de l’État.
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