il y a 25 ans ,j'ai été viré de la sidérurgie comme beaucoup ont étés virés
Et bien non , pas comme beaucoup car à l'époque j'étais délégué syndical et du personnel CGT. Il y avait des accords signés pour protéger les délégués : en gros : comme certains outils comme la coulée continue ou le train à fil continuaient de fabriquer ,interdit de virer un ouvrier (j'étais cadre) de ces chantiers et virer le même % syndiqués/non syndiqués pour d'autres ayant une réduction d'activités http://micmousse-resiste.blogspot.com/En tant que contrôleur qualité j'étais amené à travailler sur TOUS les chantiers , un mois avant mon licenciement ( pardon : ma mise en Convention Générale de Protection Sociale de la Sidérurgie CGPS) je fus affecté aux Train 280 qui eux fermaient donc je fis partie des quotas et en ce moment je fais mes 4 mois de rab avant la retraite.
Par comparaison le secrétaire CFDT ( qui avait décrété que l'on ne pouvait faire autrement ...) employé à l'entretien de divers services ,put rester jusqu'à sa retraite et vaquer à ses occupations de maire de la commune et de conseiller régional et en retraite depuis un bon moment
Bref , je n'ai pas plié , j'en ai pris plein la gueule
Quelques années auparavant , j'avais pris la tête d'un mouvement pour la sécurisation d'un pont qui transportait par aimantation des billettes (poutres d'acier de 1 tonnes) car des personnes circulaient en dessous et quand il y avait une coupure d’électricité , tout tombait
La direction a réglé l'affaire avec une prime aux ouvriers et une sirène d'alarme qui se mettait en route dès que le pont fonctionnait ( c'est à dire tout le temps)
J'ai refusé mais certains ont demandé à un délégué CFDT de signer l'accord .
Alors ,on m'a reproché d’être trop intransigeant ( y compris des camarades CGT) et d'avoir fait perdre des adhésions
Bref , je n'ai pas plié , j'en ai pris plein la gueule
Pour la petite histoire très malheureuse, il y a un stade qui porte le nom d'un ouvrier qui adorait le foot mais qui fut tué par la chute d'une billette
A 60 ans (et 2 mois ) j'en ai toujours aussi marre des salauds qui disent : c'est mieux que rien , on ne peut pas faire autrement
Et bien non , pas comme beaucoup car à l'époque j'étais délégué syndical et du personnel CGT. Il y avait des accords signés pour protéger les délégués : en gros : comme certains outils comme la coulée continue ou le train à fil continuaient de fabriquer ,interdit de virer un ouvrier (j'étais cadre) de ces chantiers et virer le même % syndiqués/non syndiqués pour d'autres ayant une réduction d'activités http://micmousse-resiste.blogspot.com/En tant que contrôleur qualité j'étais amené à travailler sur TOUS les chantiers , un mois avant mon licenciement ( pardon : ma mise en Convention Générale de Protection Sociale de la Sidérurgie CGPS) je fus affecté aux Train 280 qui eux fermaient donc je fis partie des quotas et en ce moment je fais mes 4 mois de rab avant la retraite.
Par comparaison le secrétaire CFDT ( qui avait décrété que l'on ne pouvait faire autrement ...) employé à l'entretien de divers services ,put rester jusqu'à sa retraite et vaquer à ses occupations de maire de la commune et de conseiller régional et en retraite depuis un bon moment
Bref , je n'ai pas plié , j'en ai pris plein la gueule
Quelques années auparavant , j'avais pris la tête d'un mouvement pour la sécurisation d'un pont qui transportait par aimantation des billettes (poutres d'acier de 1 tonnes) car des personnes circulaient en dessous et quand il y avait une coupure d’électricité , tout tombait
La direction a réglé l'affaire avec une prime aux ouvriers et une sirène d'alarme qui se mettait en route dès que le pont fonctionnait ( c'est à dire tout le temps)
J'ai refusé mais certains ont demandé à un délégué CFDT de signer l'accord .
Alors ,on m'a reproché d’être trop intransigeant ( y compris des camarades CGT) et d'avoir fait perdre des adhésions
Bref , je n'ai pas plié , j'en ai pris plein la gueule
Pour la petite histoire très malheureuse, il y a un stade qui porte le nom d'un ouvrier qui adorait le foot mais qui fut tué par la chute d'une billette
A 60 ans (et 2 mois ) j'en ai toujours aussi marre des salauds qui disent : c'est mieux que rien , on ne peut pas faire autrement
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